La mortalité à Paris est différente à d'autres pays, due à la composition particuliere par tranche d'age . Il existe une surreprésentation des classes d'age adulte. Peu d'enfants, ils vont en nourrice, peu de naissance. Peu de veillards, ils retournent dans vers leurs lieux d'origine. Beaucoup d'adulte, la cause est due à l'atractivité du marché du travail, et des causes immigratoire déjà citées.
Pour la tranche des 0 à 4 ans elle a diminué du tiers entre la restauration et 1905, cette diminution s'est acccélérée depuis 1880.
La mortalité des femmes est de 10 pour 19 pour les hommes pour la tranche d'age de 35 à 40 ans. Dans les arrondissment dits pauvres, periphérique, la natalité est deux fois à trois fois plus forte. Un paradoxe: la mortinatalité est supérieure dans les arrondissements riches par rappport aux arrondissments pauvres: les femmes riches repugnent à aller dans les maternité des hôpitaux, seulement dans les cas graves. Bertillon ( jacques, directeur des statistiques de paris) attribue ce paradoxe au fait que les femmes de la bourgeoisie sont moins costaudes que leur paires ouvriere." Il semble donc que les femmes de la bourgeoisie doivent à leur éducation trop sédentaires d'être moins forte que les femmes du peuple." Le taux de mortalite de Paris est le plus bas des grandes villes française, (lLyon est équivalent). Rouen et Le havre ont les taux de mortalité les plus élévés de l'époque. Et contrairement aux idée reçues, Roubaix , ville de textile, ouvriere, à un des taux les plus bas, Je n'ai pas de documentation pour éclairer ces faits à ce jour.

De Pthisie !

Bien sur on retrouve la tuberculose en tête du peloton , et de loin, les maladies respiratoire sont en faite tout ce qui ressort des pneumopathie tuberculose exclue, elles viennent en deuxieme position, ce qui manque a cette statistique sont les décès dus aux traumatismes, soit lors de la ressaisie des informations j'ai sauté de ligne, soit cette rubrique est inexistante dans le referentiels des maladies de j Bertillon, Le catalogue international des maladie ne verra le jour que dans les années 1920.